Newsletter CGT Juillet

La CGT AG2R vous présente sa newsletter du mois de juillet et vous souhaite un bel été !

Rdv à la rentrée !

 Assemblée générale des salariés : la CGT relance le présentiel !

Ces dernières années, les syndicats ont d’abord été contraints de renoncer à l’organisation d’assemblées générales en présentiel au profit du distanciel, pour les raisons sanitaires que nous connaissons tous.

Or, si le distanciel à ses côtés pratiques et permet de toucher un très grand nombre de salariés en une seule réunion, il a le défaut majeur de se cantonner à une information descendante. Ce format ne libère pas la parole. Et la vérité est que l’enchainement des réunions Teams, c’est assommant !!!

La CGT s’engage donc à revenir à votre rencontre dans les prochains mois sur vos sites.

Ainsi fin septembre, nous aurons le plaisir de commencer notre tour de France à Chartres pour ensuite rencontrer nos collègues parisiens de Paradis ou Levallois (en fonction des travaux) en octobre. En novembre, c’est avec joie que nous échangerons avec nos amis Toulousains.

A vos agendas* donc pour participer à nos AG, que nous souhaitons toujours plus interactives et

* Les assemblées générales sont considérées comme du temps de travail. Nous vous proposerons rapidement sur notre site des dates pour 2024 pour les sites d’Esvres, Rennes, Alsace, Marseille …

CSE de juillet : le patron dans l’arène

Nommé il y a un peu plus d’un an, le directeur général n’était pas encore apparu en présentiel devant les élus du CSE.

Le maestro est venu dresser un bilan de ses actions depuis sa prise de fonction, et tracer les grands jalons à venir sans que cela ne suscite de bronca.

Les élus ont pu questionner et débattre mais dans un instant contraint par l’agenda du boss.

Pour la CGT, c’était évidemment l’occasion de lancer quelques banderilles. Mais, nous avions opté pour le silence et lire une déclaration à la fin de la féria pour mettre en avant la dégradation du dialogue social dans sa globalité et la mise à l’écart de la CGT en particulier. Cette mise à l’écart se matérialise par l’absence de progrès sur des dossiers individuels ou des attaques répétées contre certains élus CGT.

Cette déclaration, à peine vache, nous ne l’avons finalement pas lu.

En effet, à plusieurs reprises, notre sombre héros a martelé son attachement au paritarisme. Il faut reconnaitre qu’entendre notre directeur se décrire aficionado, amateur éclairé, du paritarisme nous a poussé à changer notre stratégie. Finalement il nous a paru plus important de clarifier sa définition du paritarisme et surtout comment il agit pour en être protecteur et garantir l’unité de l’UES AG2R.

Pas de chance, il n’a pas compris notre question.

Pas de réponse donc sur la structuration du groupe et les craintes de départ des activités ADP au sein de l’UES LA MONDIALE avec changement de convention collective à la clé.

Ceux qui l’ont nommé (les confédérations syndicales) ne devraient-elles pas lui écrire et lui demander comment il envisage de garantir le paritarisme. Et pourquoi pas porter l’estocade en lui rappelant les contours de son mandat et l’importance du dialogue social interne.

Olé !

DRH : Un nouveau chevalier autour de la table ronde à Malesherbes !

Les distinctions honorifiques deviennent légion pour notre DRH puisqu’après avoir décroché l’oscar de la meilleure DRH y a peu, la voilà élevée au rang de chevalier de la légion d’honneur (promotion 14 juillet 2023).

Le hasard fait bien les choses ! En effet, notre DRH va pouvoir discuter breloque avec le déontologue du groupe, nommé en février 2023, puisque le mois précédent il était encore grand chancelier de la légion d’honneur.

Le grand chancelier préside les deux conseils des ordres, chambres de décision et de contrôle des décorations. C’est dire s’il peut apporter son expérience.

Humble par définition, on imagine mal que cette nouvelle distinction change le comportement de notre DRH.

Après avoir chanté toute l’année, le voilà tancé pour l’été !

Les projets top secret de déconstruction de notre groupe paritaire dont il a pris les commandes semble avoir été éventé, au point que les instances dirigeantes d’organisations syndicales (Sophie BINET pour la CGT) ont écrit à B. Angles :